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Résumé
L'ÉPOQUE?>PASCAL KANÉ?>Serge Daney : post mortem¦ Rien de tel de mourir — qui plus est du Sida — pour faire l'unanimité. Cette sanctification médiatique consacre-t-elle, au moins, les valeurs pour et contre lesquelles Serge Daney se battait ? Rien n'est moins sûr.Les médias, la TV ? Impossible de lutter contre, finit-il par admettre. On ne se bat pas contre l'inconscient, encore moins contre l'inconscient collectif. Sa force fut, très tôt, de ne rien en attendre (des médias, pas de l'inconscient). Surtout pas de faire exister son image (à défaut de sa pensée...). Sa vulnérabilité fut, quand même, de croire en eux et d'en avoir besoin.La « faiblesse » du cinéma, la façon dont son destin colle tragiquement à celui du siècle ? Qui y croit, qui la comprend encore aujourd'hui ? Sûrement pas les « vrais cinéphiles », tous ceux qui « adorent le cinéma », et qui pullulent dans les agences de pub.Le sens de l'évaluation ? Hélas, unique, intransmissible... Un mot sur « l'humain trop humain », autrement dit certaines exagérations réactives, qu'il aurait corrigées de lui-même, avec le temps (de même qu'il tempérait in extremis ses attaques contre Bertrand Tavernier, au nom de l'« humain » en lui, justement) ; Blier, trop descendu, après avoir été, un peu, surestimé ; Claude Berri, promu au rang d'unique bête noire ; etc. Ce n'est pas cela qui compte, dans le dernier Daney.Reste une définition du cinéma comme « art de l'événement », et cet adjectif,« trivial », qui lui colle si bien à la peau... Cela, au moins, reste à creuser.Reste aussi le sentiment, partagé par quelques uns, d'être les derniers de la dernière génération qui... que... Bref, que plus personne, aux avant-postes, ne sera là à notre place.Serge Daney a disparu le 12 juin dernier, après avoir fêté l'anniversaire de ses quarante-huit ans avec quelques amis.MARC LAMBRON?>L'identité masculine¦ Le livre s'intitule XY, de l'identité masculine ; l'auteur se nomme Elisabeth Badinter. Quelques remarques en marge, pour ne plus y revenir.1) Sur la couverture, un torse antique — le poitrail d'un homme nu. Le marbre a été dépiécé. Ni visage, ni bras, ni pudenda. Cette effigie minérale dessine le propos : faire l'archéologie de ce que le temps a détruit. Ou, mieux, de ce que l'esprit du temps voudrait tuer.2) XY est un mythe d'origine. Thèse : l'homme se construit en s'arrachant à la mère, au bébé, à l'homosexuel qu'il ne veut pas être. Mais il en souffre, sa vie n'est qu'un stigmate. Il s'en guérira (« vers la guérison de l'homme malade », dit l'auteur) en se réconciliant avec sa part féminine — en devenant androgyne. Si nous résumons : l'homme est la forme imparfaite d'une réalité non advenue. Avec le temps, et la sollicitude des femmes, il trouvera sa complétude. En bonne philosophie, cela s'appelle une entéléchie. Madame Badinter, qui maudit Aristote, a écrit sans le savoir une robinsonnade aristotélicienne.3) À discours de fable, vêture savante. L'habit d'autorité, la fiction scientifique sont ici construits typographiquement : footnotesà l'anglo-saxonne, références compilées, tableaux synoptiques. La science comme pavlovisme rétinien. On songe à certains romans de Nabokov, avec leur érudition-bouffe, leurs fausses fenêtres ; à ces pastiches de communications savantes où Georges Perec excella. Entre l'imposture signalétique et le mandarinat espéré, il y a un espace pour les gobeurs. Ils achètent.4) Il règne sur tout l'ouvrage une curieuse atmosphère juridictionnelle. L'homme XY comparait devant son juge XX. Des perquisitions sont diligentées dans les backrooms, chez les romanciers, dans les dépôts de prothèses péniennes. Devant ce tribunal d'exception, le mâle peut espérer de la mansuétude. On la lui donne. Condamné, mais avec sursis. Constamment, il est fait jurisprudence. Or faut-il rappeler que le sujet du droit n'est pas celui du désir ? Et qu'à l'oublier, on se condamne à l'hinterland psychotique ?5) Quatre manies, quatre constantes, parmi d'autres :La réification, l'immobilisation du cobaye. Pour qu'une grenouille soit observable, il faut la clouer sur sa planche. L'homme XY est ici, au sens étymologique, stupéfait.Le discours essentialiste, qui distribue les prédicats (doux/dur, maternel/paternel, féminin/masculin) selon les typologies les plus stéréotypées, les plus masculines, si l'on veut — sans jamais interroger la ligne de partage.L'usage documentaire du roman contemporain : Philip Roth, Sollers, Moravia sont convoqués comme symptômes du savoir de l'auteur. Le roman est un soliveau de la pensée-Badinter. Pas une seconde l'auteur ne semble s'aviser qu'elle pourrait avoir été prévue par la littérature. Qu'elle en est un personnage immédiatement descriptible, déjà contre-fiché par la plus puissante des polices — celle qui rit.XY est un livre sur les hommes où l'on ne parle jamais de la jouissance féminine.6) J'imagine un ouvrage intitulé XX, de l'identité féminine, où un homme tiendrait un discours symétrique sur les femmes, avec la même sollicitude implacable, les mêmes effets de prétoire, les mêmes manières de chat qui agace la pelote, la même froideur. Ce serait un absolu tollé de ligues, de magazines, d'autorités surmorales. Mais l'inverse est entré dans les moeurs du Zeitgeist : il y a un déport d'égalité qui autorise une femme à parler des hommes comme un homme ne peut plus parler des femmes. Laissons le PC aux États-Unis, mais constatons l'émergence en France de ce que l'on pourrait appeler l'IC (Intellectuellement Correct). Censures, nouvelles bienséances, abdication concomitante de l'esprit critique. Grand sommeil d'Isis.7) XY est un livre programmatique. Un manifeste religieux. Pour que l'homme devienne androgyne (AC, Androgynement Correct), il faudra selon l'auteur trois générations. Et des mécanismes correcteurs, de la contrition, de la rééducation. Le vieux rêve du XXe siècle ressurgit au crépuscule : fabriquer un homme de laboratoire, une entité-golem. On songe au robot de Metropolis, aux laboratoires carpathiques des films de Bela Lugosi, aux cols de serge des professeurs chinois renvoyés aux champs. L'utopie radieuse — c'est-à-dire ténébreuse — a déserté la politique. Mais elle se niche désormais dans les cornues. Fin de l'histoire dans le culte du génome, des FIVET, des gamètes trafiqués. La mutation est l'avenir de l'homme. 1984 est derrière nous. On attend l'an 2000.BERNARD SICHÈRE?>Le sida toujours...¦ Un de mes amis récemment au cours d'une soirée : « Mais vous, les intellectuels, les philosophes, pourquoi ne dites-vous rien sur le sida ? » Il veut dire, bien sûr : ce serait tout de même votre devoir... Je n'aime pas qu'on m'explique mes devoirs mais il a raison, je plaide coupable. L'horreur croît, le sida encore, le sida toujours, ici, en Europe, aux États-Unis, en Afrique, partout dans le monde, chaque jour, tout le temps, et nous ne disons rien, ou presque, sur cette Chose galopante qui nous rattrape les uns après les autres. Étonnant tout de même, c'est vrai, si l'on songe à la liste si longue de ceux qui dans nos milieux ont été emportés déjà, avec ou sans couronne. Si je me trouve avoir si peu à dire jusqu'à présent, est-ce par légèreté ? Par lâcheté ? Moi, je ne suis pas contaminé, pas encore en tout cas, je ne veux pas y penser et je fais avec d'autres comme si ma vie devait durer toujours. Mais puis-je mentir si longtemps, me mentir ? Voici qu'un proche, un ami d'ami, vient de disparaître à son tour, secondé ici par un médecin admirable (il y en a), abandonné ailleurs comme un chien, dans une solitude abominable. Est-ce le sentiment de mon impuissance qui me cloue le bec ? Mon impossibilité à penser ce jeu du sexe et de la mort qui déjà nous a pris Foucault, Aron, Hocquenghem, Guibert, ces jours-ci Daney et demain bien d'autres ?Je crois qu'il faut l'admettre : cette horreur n'est pas entrée dans la tête des gens, elle n'est pas entrée non plus dans celle des dirigeants politiques, pour la plupart affolants d'inconscience et d'irresponsabilité. Mais raison de plus pour ne pas céder : il faut parler contre le silence, il faut penser contre la fuite et la dénégation. Cette mort qui nous frôle de si près n'est pas semblable à celles d'hie...
L'ÉPOQUE?>PASCAL KANÉ?>Serge Daney : post mortem¦ Rien de tel de mourir — qui plus est du Sida — pour faire l'unanimité. Cette sanctification médiatique consacre-t-elle, au moins, les valeurs pour et contre lesquelles Serge Daney se battait ? Rien n'est moins sûr.Les médias, la TV ? Impossible de lutter contre, finit-il par admettre. On ne se bat pas contre l'inconscient, encore moins contre l'inconscient collectif. Sa force fut, très tôt, de ne rien en attendre (des médias, pas de l'inconscient). Surtout pas de faire exister son image (à défaut de sa pensée...). Sa vulnérabilité fut, quand même, de croire en eux et d'en avoir besoin.La « faiblesse » du cinéma, la façon dont son destin colle tragiquement à celui du siècle ? Qui y croit, qui la comprend encore aujourd'hui ? Sûrement pas les « vrais cinéphiles », tous ceux qui « adorent le cinéma », et qui pullulent dans les agences de pub.Le sens de l'évaluation ? Hélas, unique, intransmissible... Un mot sur « l'humain trop humain », autrement dit certaines exagérations réactives, qu'il aurait corrigées de lui-même, avec le temps (de même qu'il tempérait in extremis ses attaques contre Bertrand Tavernier, au nom de l'« humain » en lui, justement) ; Blier, trop descendu, après avoir été, un peu, surestimé ; Claude Berri, promu au rang d'unique bête noire ; etc. Ce n'est pas cela qui compte, dans le dernier Daney.Reste une définition du cinéma comme « art de l'événement », et cet adjectif,« trivial », qui lui colle si bien à la peau... Cela, au moins, reste à creuser.Reste aussi le sentiment, partagé par quelques uns, d'être les derniers de la dernière génération qui... que... Bref, que plus personne, aux avant-postes, ne sera là à notre place.Serge Daney a disparu le 12 juin dernier, après avoir fêté l'anniversaire de ses quarante-huit ans avec quelques amis.MARC LAMBRON?>L'identité masculine¦ Le livre s'intitule XY, de l'identité masculine ; l'auteur se nomme Elisabeth Badinter. Quelques remarques en marge, pour ne plus y revenir.1) Sur la couverture, un torse antique — le poitrail d'un homme nu. Le marbre a été dépiécé. Ni visage, ni bras, ni pudenda. Cette effigie minérale dessine le propos : faire l'archéologie de ce que le temps a détruit. Ou, mieux, de ce que l'esprit du temps voudrait tuer.2) XY est un mythe d'origine. Thèse : l'homme se construit en s'arrachant à la mère, au bébé, à l'homosexuel qu'il ne veut pas être. Mais il en souffre, sa vie n'est qu'un stigmate. Il s'en guérira (« vers la guérison de l'homme malade », dit l'auteur) en se réconciliant avec sa part féminine — en devenant androgyne. Si nous résumons : l'homme est la forme imparfaite d'une réalité non advenue. Avec le temps, et la sollicitude des femmes, il trouvera sa complétude. En bonne philosophie, cela s'appelle une entéléchie. Madame Badinter, qui maudit Aristote, a écrit sans le savoir une robinsonnade aristotélicienne.3) À discours de fable, vêture savante. L'habit d'autorité, la fiction scientifique sont ici construits typographiquement : footnotesà l'anglo-saxonne, références compilées, tableaux synoptiques. La science comme pavlovisme rétinien. On songe à certains romans de Nabokov, avec leur érudition-bouffe, leurs fausses fenêtres ; à ces pastiches de communications savantes où Georges Perec excella. Entre l'imposture signalétique et le mandarinat espéré, il y a un espace pour les gobeurs. Ils achètent.4) Il règne sur tout l'ouvrage une curieuse atmosphère juridictionnelle. L'homme XY comparait devant son juge XX. Des perquisitions sont diligentées dans les backrooms, chez les romanciers, dans les dépôts de prothèses péniennes. Devant ce tribunal d'exception, le mâle peut espérer de la mansuétude. On la lui donne. Condamné, mais avec sursis. Constamment, il est fait jurisprudence. Or faut-il rappeler que le sujet du droit n'est pas celui du désir ? Et qu'à l'oublier, on se condamne à l'hinterland psychotique ?5) Quatre manies, quatre constantes, parmi d'autres :La réification, l'immobilisation du cobaye. Pour qu'une grenouille soit observable, il faut la clouer sur sa planche. L'homme XY est ici, au sens étymologique, stupéfait.Le discours essentialiste, qui distribue les prédicats (doux/dur, maternel/paternel, féminin/masculin) selon les typologies les plus stéréotypées, les plus masculines, si l'on veut — sans jamais interroger la ligne de partage.L'usage documentaire du roman contemporain : Philip Roth, Sollers, Moravia sont convoqués comme symptômes du savoir de l'auteur. Le roman est un soliveau de la pensée-Badinter. Pas une seconde l'auteur ne semble s'aviser qu'elle pourrait avoir été prévue par la littérature. Qu'elle en est un personnage immédiatement descriptible, déjà contre-fiché par la plus puissante des polices — celle qui rit.XY est un livre sur les hommes où l'on ne parle jamais de la jouissance féminine.6) J'imagine un ouvrage intitulé XX, de l'identité féminine, où un homme tiendrait un discours symétrique sur les femmes, avec la même sollicitude implacable, les mêmes effets de prétoire, les mêmes manières de chat qui agace la pelote, la même froideur. Ce serait un absolu tollé de ligues, de magazines, d'autorités surmorales. Mais l'inverse est entré dans les moeurs du Zeitgeist : il y a un déport d'égalité qui autorise une femme à parler des hommes comme un homme ne peut plus parler des femmes. Laissons le PC aux États-Unis, mais constatons l'émergence en France de ce que l'on pourrait appeler l'IC (Intellectuellement Correct). Censures, nouvelles bienséances, abdication concomitante de l'esprit critique. Grand sommeil d'Isis.7) XY est un livre programmatique. Un manifeste religieux. Pour que l'homme devienne androgyne (AC, Androgynement Correct), il faudra selon l'auteur trois générations. Et des mécanismes correcteurs, de la contrition, de la rééducation. Le vieux rêve du XXe siècle ressurgit au crépuscule : fabriquer un homme de laboratoire, une entité-golem. On songe au robot de Metropolis, aux laboratoires carpathiques des films de Bela Lugosi, aux cols de serge des professeurs chinois renvoyés aux champs. L'utopie radieuse — c'est-à-dire ténébreuse — a déserté la politique. Mais elle se niche désormais dans les cornues. Fin de l'histoire dans le culte du génome, des FIVET, des gamètes trafiqués. La mutation est l'avenir de l'homme. 1984 est derrière nous. On attend l'an 2000.BERNARD SICHÈRE?>Le sida toujours...¦ Un de mes amis récemment au cours d'une soirée : « Mais vous, les intellectuels, les philosophes, pourquoi ne dites-vous rien sur le sida ? » Il veut dire, bien sûr : ce serait tout de même votre devoir... Je n'aime pas qu'on m'explique mes devoirs mais il a raison, je plaide coupable. L'horreur croît, le sida encore, le sida toujours, ici, en Europe, aux États-Unis, en Afrique, partout dans le monde, chaque jour, tout le temps, et nous ne disons rien, ou presque, sur cette Chose galopante qui nous rattrape les uns après les autres. Étonnant tout de même, c'est vrai, si l'on songe à la liste si longue de ceux qui dans nos milieux ont été emportés déjà, avec ou sans couronne. Si je me trouve avoir si peu à dire jusqu'à présent, est-ce par légèreté ? Par lâcheté ? Moi, je ne suis pas contaminé, pas encore en tout cas, je ne veux pas y penser et je fais avec d'autres comme si ma vie devait durer toujours. 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